Ici, nous reprenons les sensations d’une soumise (mais il s’agit d’un homme qui est soumis à une dominatrice) par sa dominatrice qu’il appelle sa maîtresse. Elle s’appelle maîtresse Athéna et elle est très bonne dans le jeu. Mais nous avons aussi entendu parler d’une certaine maitresse kika qui elle aussi exerce ce métier avec ses qualités.
Comportement général
Le soumis et la maîtresse ne se touche que pour un baisemain déférent ou pour embrasser la pointe des cuissardes, ou encore masser les pieds de la maîtresse quand elle le désire, de la part du soumis ; et pour torturer les seins, fesser, cravacher ou serrer les cordes et bâillons de la part de la maîtresse. Cette dernière satisfait ainsi les fantasmes de cette soumise, à la faire souffrir à sa demande ou à agir plus doucereusement lorsqu’elle voit le besoin de douceur de sa soumise.
Les sévices subis et les sensations
Il existe plusieurs pratiques et dans chacune d’elles les douleurs sont très intenses presque insupportables : donc il y a les pinces aux seins (avant tout, la soumise est attachée, seins malaxés durement, triturés par les ongles) donnant des sensations de frissons, de tremblement nerveux, de petits gémissements. Le bâillon : elle est indispensable pour le jeu, car il interdit toute plainte sur les sévices subis, et le jeu peut être mené sans contestation aussi dure et implacable que la dominatrice sera-t-elle. La souffrance est ainsi subie en silence avec le respect et l’obéissance qu’il se doit.
Le fouet : Le fouet est un élément essentiel dans relation dominant- dominé. Souvent, les soumis sont penchés sur un banc de fessée, ils y sont courbés en avant, les poignets attachés, les pieds écartés, et la bouche bâillonnée. Ensuite, c’est l’attente de la maîtresse sur le choix du fouet. Les caresses préalables et enfin le premier coup, douloureux mais il faut résister, ensuite à répétition aux même endroits, ça devient atroce, les gigotements pour se libérer commencent mais rien n’est possible aussi solidement attaché, que de se faire rabrouer à rester tranquille. Une barre métallique est attachée au niveau des chevilles pour maintenir les jambes écartées et les pluies de coups recommencent implacable et il ne reste plus que des gémissements. Enfin, les coups sont terminés, de douces mains caressent les endroits endoloris, le soumis est détaché et vient se précipiter au pied de la maîtresse pour embrasser ses pieds et la remercier. Et bien d’autres jeux tels que le jeu du foulard, la chaise de torture ou la séquestration.
Difficile de répondre à la question de ce que ressens chaque soumis-ses par sa maîtresse, c’est juste qu’ils aiment cela, et ils aiment d’autant plus celui ou celle qui le leur fait subir ! En tout, il s’agira de suspense, douleur, excitation, soumission, plaisir et respect, amour profond différent de celui avec l’épouse…